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Jeudi (28/06/07)
aiku III
--> kuai
de vacio
paso a ser rayo de sol
me ha tocado tu mirada
Ecrit par Katina1, à 04:05 dans la rubrique Journal.
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aiku II
--> kuai
Eres piedra
madre
rio cristalino sobre onix negro
Ecrit par Katina1, à 04:00 dans la rubrique Journal.
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aiku
--> kuai
mis petalos caen del cielo
no paran
soy nube

Ecrit par Katina1, à 00:45 dans la rubrique Journal.
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Mercredi (27/06/07)
A midi, au restaurant.
--> Le choses que l'on doit entendre .

A la table d'à côté 6 vielles dames mangent, elles ont toutes au tour des 75 ans... elles racontent des souvenirs, vieux et récents. Leurs robes de jeune fille, leurs déjeuners avec leurs petites filles, oui, celle qui va se marier, une fois c'est elle qui invite, une fois c'est moi... dit celle au fond de la table avec grande fierté. Chaque une raconte sa petite histoire et, en suite, l'une d'entre elles sort le cailler où elle a soigneusement noté les messages de celles qui ont téléphoné pour s'excuser de ne pas pouvoir venir, et avancent une excuse une maladie au nom étrange qu'elle subit depuis quatre ans, l'une, l'impossibilité de marcher, l'autre. Elle lit avec grâce les petits récits qu'elle a soigneusement écrit dans in français soigné, gentil et doux, propre aux dames de sa génération. La dernière absente argumente qu'elle a des ennuis avec les yeux.

- Tu te rappelles ? Dans le temps, elle ne voulait plus venir à nos réunions.

-Oui, elle voulait plus venir me voir, car el vivait avec un homme

-Et ils n'étaient pas mariés.

-Maintenant on est prêt à tout.

- Et, à la fin, ils se sont mariés?

La plus vielle, change de sujet. Elle porte un chignon et est la seule à porter une robe, en soie chinoise rouge vif avec des fleurs blanches, car les autres sont en tailleurs de grand-mère dans des tons beige, jaune pastel, blanc cassé, sable. Elle, déterminée, change le sujet en annonçant qu'elle va lire une petite histoire pour ces amies, et commence :

Une vieille dame s'arrête un soir sur un restaurant d'autoroute.

Elle va au self et prend une soupe chaude,

puis va s'asseoir toute seule à une table.

Elle se rend compte qu'elle a oublié de prendre du sel.

Elle se lève, erre un peu dans le restaurant avant d'en trouver,

et retourne à sa table.

Mais en revenant, elle y trouve assis un homme, un noir,

qui plonge sa cuillère dans le bol de soupe et la mange lentement.

"Oh ! Il a du culot ce noir ! pense la brave dame.

Je lui apprendrais bien les bonnes manières "

Mais elle s'assied sur le côté de la table,

et charitablement le laisse manger un peu de sa soupe.

Tirant un peu le bol à elle, elle plonge sa cuillère elle aussi,

cherchant à partager au moins cette soupe avec lui.

Le noir retire doucement le bol vers lui, et continue de manger.

La dame se remet à le tirer légèrement vers elle, pour pouvoir y avoir accès.

Et ils finissent la soupe ainsi.

Alors le noir se lève, lui fait signe de patienter,

et revient avec une portion de frites énorme, qu'il partage avec elle, comme la soupe.

Enfin ils se saluent, et la dame part aux toilettes.

Mais quand elle revient, elle veut prendre son sac pour partir,

et découvre qu'il n'est plus au pied de la chaise.

"Ah ! J'aurais bien dû me méfier de ce noir !".

Elle hurle dans tout le restaurant, criant au voleur,

jusqu'à ce que finalement on retrouve son sac,

posé au pied d'une table où repose un bol de soupe refroidie...

son bol auquel personne n'a touché.

C'était elle qui s'était trompée de table et avait partagé le repas de l'homme.

 Celle qui a lu le cahier dit :
- Ah oui, moi j'en vois souvent, des noirs. Dans le train. Vous savez, dans mon village il y a ce centre de réfugiés et je les croisse souvent dans le train. Je suis toujours très gentille avec eux, car, imaginez vous si nos enfants et nos petits enfant sont obligés de partir vivre au Sudan.

Les cinq autres restèrent un instant immobiles comme des statues en la fixant. Après court silence gêné les commentaires sur le dessert conduirent les vielles dames sur un terrain moins scabreux.
........................................................................................................
A la sortie, une femme un peu ronde mais très sportive, aux cheveux bruns et courts, traverse devant la pharmacie à pas militaire, suivie de ce deux filles, aux environs de 10 et 13 ans. Elle dit à l'aînée :
-Il vont te faire avaler un de ces gros machins.
La fillette répond :
-Ah bon, il est énorme?
Nous nous éloignons sous ce ciel si beau, si clair, si frais, qui ne garantit pas pour autant le bonheur de tout le monde
.

Ecrit par Katina1, à 23:41 dans la rubrique Journal.
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Mardi (29/08/06)
coup de vent
--> ... brise

Voilà que je reviens, on ne peux pas dire que je suis la plus constante. Ai-je quelque chose a faire ici? à part lire le commentaire de Andy Verol? en fin, j'aime les couleurs de ce bon vieux blog semi-desertique...

J'ai quelques idées derrière la tête... Je reviendrais peût être.

Ecrit par Katina1, à 17:12 dans la rubrique Journal.
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Mardi (01/11/05)
2ème essai
--> Avec la perspective de 20 ans hors d'orbite

lumière à travers une feuille de bananier

J'ai essayé d'écrire un article. Mais il n'a pas apparu. ben merde, plus envie de le re-écrire, tant pis.

Je dirais cependant que j'ai trouvé un essaim de bloggeurs de la république du Sacre Coeur, vers les tropiques, autour des 16 - 24 ans. Ils sont terriblement intellos et ne parlent que de littérature, philosophe et musique. Ils ne font que vaguement et rarement allusion à la politique presque en rigolant. Ceci s'explique car, là-bas, si t'as pas la bonne opinion, il se peut qu'on te raie de la carte très rapidement. Au même temps ils écrivent des petites blagues bêtes et parlent d'amour. Évidement ils appartiennent à la minorité qui a un ordinateur et qui peut passer son temps à écrire et bavarder. 

Je me dis que le fait de naître dans un pays ou les jeunes n'ont aucune autre chance que celle de naître dans la bonne famille, laisse beaucoup de temps pour lire et s'instruire. Je me dis aussi que la culture intellectuelle est dans ces pays une drogue pour ne pas voir la misère qui nous entoure et qui nous crie. Une manière de mener une vie secrète riche et pleine de surprises, avant que la culpabilité, l'exil (volontaire ou pas) ou la pauvreté ne t'attaquent. Ou bien une recherche forcenée du savoir pour conjurer cette situation insupportable, pour lui y trouver une solution.

Parmi eux j'ai trouvé un gars attachant. Il a 20 ans. Il est de 'bonne' famille, il joue la basse, il peut se donner le luxe étudier la littérature. Je pense qu'il va à l'université des Jésuites (chère et privée) . Il a passé son enfance et son adolescence à traverser la ville en bus pour aller dans une belle école privée de celles qui se trouvent tout au nord. Cela veut dire plus de 3h x jour de gaz carbonique dans un bus, vu la pollution qui y règne. Normalement, pendant ces trajets on passe ce temps à discuter et a jouer avec les copains et a draguer, si l'on a de quoi s'inspirer. Je l'ai fait moi aussi pendant quelque temps, vingt ans avant lui. A l'époque il y avait beaucoup moins de voitures. Quelque temps après mon père a décide de déménager plus nord. Ce gars, qui a les yeux le plus beaux et tendres du cyberciel et une personnalité délicieuse qui fleurit dans son écriture, a perdu son estomac à cause d'un cancer. Il dit qu'il n'est pas le seul de son école. Il continue a vivre ses 20 ans, plein d'amour, de rêve, de musique. Mais des fois, lui ou les autres, écrivent qu'ils on peur de se faire attaquer ou tuer dans la rue par certains delinquents qui refussent de rester pauvres.

Je crois que s'ils avaient été un peu plus riches, il auraient pu vivre plus au nord et il n'auraient pas été exposés à tant de contamination. Des fois il vaut mieux être dans la foret a cueillir des racines, que de ne pas être assez riche (seulement un 10% de la population l'est), dans cette ville de 8 millions d'habitants. Dans cette république bananière, les propriétaires étrangers des bananes font des razzias lorsque les employés demandent une augmentation ou créent un syndicat. C'est pourquoi moi, ici en terre francophone, je bouffe de bananes Maxavellard, même si cela me coûte plus cher. (Moi, comme beaucoup de latinos, je suis banano-dépendante. Va savoir si c'est psychologique, dû au manque de soleil pendant l'hiver, le printemps et l'automne ici en Europe, ou, si on en a plus besoin, biologiquement parlant, que les autres)

Ecrit par Katina1, à 23:25 dans la rubrique Journal.
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Jeudi (10/02/05)
Un journal? Alors je raconte tout.
--> Jour pénible... bizarre, triste et beau

Bon, je vais essaier de faire comme tout le monde, de parler de moi aujourd'hui, de divaguer, de me soûler de mots. Je crans que je ne vais pas réussir, car aujourd'hui tout conspire contre l'inspiration.

D'abord, je me lève avant 7 heures, bois de l'eau, et hop au lit, je me programme : encore 2 heures et demi de sommeil, je me suis couchée trop tard hier (1h30) et trop bu avant hier après la piscine avec Km et mon Gâton. Il y avait l'agent de Youssu N'dour venu voir Notre Ami (mon compatriote) après l'avoir rencontré au Festival de noël au Sénégal. On causait monogamie et polygamie. Il me conseillait de relever le challenge et de venir au Sénégal pour que mon mari prenne quelques co-épouses.

-Tu verras, c'est une vraie famille. Il y a toujours de l'ambiance, les enfants et le mari sont toujours heureux avec toutes ces mamans, et puis, pas besoin d'aller au restaurant, chaque co-épouse à ses recettes et ses épices, et puis certains jours tu est libre, car une autre s'occupe de ton mari....

Je suis d'accord, si je peux aussi avoir quelques maris.....

-Ah non, il faut un seul chef pour mettre de l'ordre dans son petit monde.

Il était vraiment très noir, grand, avec un beau sourire et des dents parfaites et lumineuses.

Après on a passé au chapitre refaire le monde... je préfère me taire là.

Notre Ami nous a raconté comment certains français au Sénégal (beaucoup trop, pour  être honnête) traitent les Négresses de manière indigne, et comment ils se croient supérieurs. Notre ami après être venu de notre pays tropical a été marié à une suissesse dont il a une fille (la suissesse file le bonheur avec un autre compatriote à présent). Maintenant il est amoureux d'une sénégalaise qu'il a du arracher a son ex français qui face à l'imminence de l'abandon l'a drogué et l'a ramené à Paris contre sa volonté. Une drôle d'histoire. Est-ce qu'elle le fait marcher?. Sûrement pas. Il jure que non.

Bon, tout ça pour dire que l'on a bu quelques bouteilles de vin et mangé des empanadas, donc arrivée tard à la maison en mardi. Oulala.

J'essaie de revenir à moi. Alors ce matin, la programmation n'a pas marché. Pas possible de dormir une minute de plus. Je suis allée travailler après avoir fait les 3000 tours sous le duvet.

Plus tard j'ai fait une pause et sur le chat je trouve un canadien qui n'ose pas divorcer par peur de déprimer et se suicider après que son épouse (qui déteste le sexe) le plume avec les avocats, pensions, l'autorité paternelle, etc. Lui, il est au bord de la déprime mais il essaie de le dissimuler. J'ai aussi parlé à un très beau garçon (il m'a envoyé sa photo) de 26 ans qui posait beaucoup de questions sur mes passions dans la vie. Je suis sure que c'est un homme exceptionnel, c'est quand même très bizarre un gars comme ça. Ce n'est pas le fait de poser les questions, tous le font, mais lui, alors, il avait l'air de d'être très sincèrement intéressé sans arrière pensées, et ça c'est RARISSIME.

Après j'ai échappé à la réunion de ce soir, les communautés de mon continent qui organisent événements culturels pour les prochains mois. Je n'avait pas le courage de pointer mon cléopatrique et tropical nez dehors. Non, pas aujourd'hui, même si cette année je me suis équipée avec toute la panoplie alpine. C'est beau la neige mais je ne comprends toujours pas comment on peut vivre autant de mois dans le froid avec peu de lumière. Mon beau pays tout vert me manque. Je veux des mangues, des hibiscus dans le jardin au rythme de la brise. Être en plein air à tout moment et sentir voler les odeurs végétaux frais. aaaaaaaaaaaaaaaaaaaarrrrg... Même si se n'est pas les vacances, c'est beau. Quelle idée d'épouser un viking.

Alors j'ai piqué ma ptite crise, j'ai même pleuré un peu. (c'est un record, tenir jusqu'au 10 février). Mais le yeux et le sourire de mon viking brillent plus que tous les soleils tropicaux de la galaxie... et je me suis ressaisie face à sa tendresse.

On n'a pas fait à manger: très rare aussi. On a mangé des céréales en regardant un film de flics américains. Et puis je suis revenue voir si She apparaissait. Je ne la connais pas, mais j'aurais envie de l'emmener manger une glace tout de suite.

En fin, je peux me dire que d'ores en avant on émerge vers le printemps. Et qui sait, ou pourra peut être échapper aux 4 saisons avant la fin du mois...avec un peu de chance.

ps: j'ai oublié de dire qu'un client titilleux m'a téléphoné deux fois pour m'expliquer ce qu'il veut. et pour savoir si je l'ai déjà fait. zut.

Ecrit par Katina1, à 23:20 dans la rubrique Journal.
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Mardi (25/01/05)
Recit de voyage ou Ragots de conciergerie
--> Spionnage des fenêtres du cyberciel

Je viens de visiter quelques jouebs. D'abord She. Cette fille a vraiment du charme. Tout ce qu'elle raconte est plein de sa lumière. Je n'en dit pas plus. C'est bizarre. Je ne peut pas théoriser la dessus. Elle est trop cristalline. Belle.

Un écrivain d'un pays tropical qui a du succès en ce moment disait que pour écrire des bons romans ou créer de bons personnages, il fallait simplement être un grand écrivain (type Amélie Nothomb, Balzac ou Garcia Marquez). Que c'était la seule règle, le seul secret. ...Et il a étudié la littérature toute sa vie (il est jeune) pour chercher la recette et devenir écrivain.. Je crois que cette théorie est la meilleure chose qu'il a écrit. Non, je n'ai pas lu les 111 fenêtres de l'âme de She, comme dit l'avoir fait un tel Dyogène qui ne m'a pas l'air très sage comme garçon. D'ailleurs il a engagé un tueur pour descendre son joueb.

L'autre garçon qui étudie à Londres, joue la batterie écrit comme un pro. Mais... il m'énerve. Le pauvre est amoureux de son premier amour. Il se prive de tout et prive les demoiselles de sa personne. Je sais que l'on n'y peu rien c'est la maladie d'amour. Mais, zut, faut faire quelque chose. Retrouver sa bien-aimée ou se lancer dans le vide du futur pour voir de quoi il en est plein.

Ptitetsu a une musique magnifique sur son joueb. Excellent goût. Je n'ai pas trop pu la lire...je sais que des amis lui ont préparé un anniversaire.

Ah. La lili-la-tigresse me plaît. Mais son copain est un peu bizarre. Elle mérite beaucoup mieux. (que Dieu me pardonne)

Bonne nuit

Ecrit par Katina1, à 03:46 dans la rubrique Journal.
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Lundi (24/01/05)
memo
--> pour info

Je serais absente pendant les minutes qui suivent. Je compte aller faire un tour chez les autres jouebeurs, histoire de voir s'il y a quelque chose de mieux que de manger une tartine crustillante au fromage bleu. Je sais, la couleur est pas genial.

Tant pis, je vais d'abord chercher la tartine, le fromage bleu est pris d'assaut par des predateurs.

Bien sur, je ne suis pas revenue, je n'ai pas visité les autres pages...d'autres tâches m'ont retenue. Maintenant j'y vais.

Ecrit par Katina1, à 00:29 dans la rubrique Journal.
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Dimanche (23/01/05)
Un reportage de fées...du tropique enchanteur.
--> Cendrillon ne meure jamais


Merciauphotographepourcettephoto

Cette femme a été chassée de sa maison par des mercenaires payés par le Royaume au drapeau des Raies de Cok sur des Raies de Sang, coiffées par des éclaboussures d'étoile sur un bleue suspect, qui est dirigé par Boushit envahisseur (car chez nous beaucoup pétrole, beaucoup nature, beaucoup main d'oeuvre pas cher). Bref, ces mercenaires ont décidé qu'elle collaborait avec des rebelles (qu'on appelle aujourd'hui "terroristes") et ils ont très certainement tué son homme. Son hameau était très pauvre au milieu de la jungle. Maintenant elle est dans un autre village, un peu plus grand, où elle vit de la charité dans la rue avec sont jeune fils. C'est une zone très pluvieuse et malsaine. Heureusement qu'elle est courageuse et qu'il aime jouer dans la boue. Plus tard, il n'aura pas de travail, même s'il va a l'université, car les places sont d'abord pour les blancs, en suite pour les métis (blanc-indigène), pour les indigènes et les noirs : que dalle. C'est une histoire de tous les jours...1'500.000 personnes ont couru le même sort durant les derniers 4 ans. Merci notre Ubu roi, qui vend ce beau terroir qu'était un jour le pays des indigènes, il y a un peu plus de 500 ans. Pas rigolo le conte non?

Ecrit par Katina1, à 22:54 dans la rubrique Journal.
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